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Le 28 janvier 2021 - Postez un commentaire

Laure de La Raudière vient officiellement d’être nommée présidente de l’Arcep par décret publié au Journal Officiel du 28 janvier 2021. Son mandat durera 6 ans.

Il y a quelques jours, nous évoquions l’avis favorable de la part de la Commission des affaires économique au Sénat pour la nomination de Laure de La Raudière à la présidence du régulateur des télécoms. La députée (Agir) d’Eure-et-Loir était candidate pour succéder à Sébastien Soriano, l’ex-président de l’Autorité. Et le 5 janvier dernier, le Président de la République Emmanuel Macron a proposé de la nommer.

Cette nomination est devenue officielle ce jeudi 28 janvier 2021, après deux auditions passées auprès de l’Assemblée Nationale le 13 janvier et du Sénat le 20 janvier dernier. La députée succède alors à Sébastien Soriano, qui sera resté 6 ans à la tête de l’Arcep.

Les attentes de Laure de la Raudière pour les télécommunications

La députée n’est pas étrangère à l’industrie des télécoms. En 1984, elle devient diplômée de l’École normale supérieure en ingénierie des télécoms. Elle rejoint le groupe France Telecom dans les années 90 où elle débutera sa carrière. Laure de La Raudière est ensuite nommée députée de la troisième circonscription d’Eure-et-Loir en 2007, puis réélue en 2012 et 2017. Enfin en 2020, elle rejoint le parti politique Agir Ensemble.

Dans son parcours, la nouvelle présidente de l’Arcep a participé à de nombreux projets relatifs au numérique, parmi lesquels la neutralité de l’internet et des réseaux, la couverture numérique du territoire, l’impact de la régulation sur la filière télécoms, et bien évidemment le projet du Très Haut Débit pour tous.

En tant que nouvelle présidente de l’Arcep, Laure de la Raudière pourrait appliquer en priorité ce qu’elle a avancé lors de ses auditions devant le Parlement, c’est-à-dire : « les exigences des citoyens et des entreprises d’avoir des réseaux télécoms, fixes comme mobiles, de qualité, partout sur le territoire et accessibles à des prix compétitifs constitueront la base pour les enjeux de régulation de l’Arcep. » La députée souhaite également faire le point sur la consommation des réseaux, et de la manière « dont la régulation peut contribuer à l’objectif de développement durable tout en gardant des objectifs ambitieux de déploiement des réseaux ».

> Plus d’informations sur le site de l’Arcep

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